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LA GLOIRE DU VAL-DE-GRÂCE

Poésie et Poème

MOLIÈRE



TABLE des MATIÈRES

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DIGNE FRUIT...


TEXTE INTÉGRAL



Digne fruit...

Digne fruit de vingt ans de travaux somptueux,

Auguste bâtiment, temple majestueux,

Dont le dôme superbe, élevé dans la nue,

Pare du grand Paris la magnifique vue,

Et, parmi tant d'objets semés de toutes parts,

Du voyageur surpris prend les premiers regards,

Fais briller à jamais, dans ta noble richesse,

La splendeur du saint voeu d'une grand Princesse,

Et porte un témoignage à la postérité

De sa magnificence et de sa piété ;

Conserve à nos neveux une montre fidèle

Des exquises beautés que tu tiens de son zèle :

Mais défends bien surtout de l'injure des ans

Le chef-d'oeuvre fameux de ses riches présents,

Cet éclatant morceau de savante peinture,

Dont elle a couronné ta noble architecture :

C'est le plus bel effet des grands soins qu'elle a pris,

Et ton marbre et ton or ne sont point de ce prix.

Toi qui dans cette coupe à ton vaste génie

Comme un ample théâtre heureusement fournie,

Es venu déployer les précieux trésors

Que le Tibre t'a vu ramasser sur ses bords,

Dis-nous, fameux Mignard, par qui te sont versées

Les charmantes beautés de tes nobles pensées,

Et dans quel fonds tu prends cette variété

Dont l'esprit est surpris et l'oeil est enchanté.

Dis-nous quel feu divin, dans tes fécondes veilles, De tes expressions enfante les merveilles,

Quel charme ton pinceau répand dans tous ses traits,

Quelle force il y mêle à ses plus doux attraits,

Et quel est ce pouvoir, qu'au bout des doigts tu portes,

Qui sait faire à nos yeux vivre des choses mortes,

Et d'un peu de mélange et de bruns et de clairs,

Rendre esprit la couleur, et les pierres des chairs.

Tu te tais, et prétends que ce sont des matières

Dont tu dois nous cacher les savantes lumières,

Et que ces beaux secrets, à tes travaux vendus,

Te coûtent un peu trop pour être répandus.

Mais ton pinceau s'explique, et trahit ton silence ;

Malgré toi, de ton art il nous fait confidence ;

Et, dans ses beaux efforts à nos yeux étalés,

Les mystères profonds nous en sont révélés.

Une pleine lumière ici nous est offerte ;

Et ce dôme pompeux est une école ouverte,

Où l'ouvrage, faisant l'office de la voix,

Dicte de ton grand art les souveraines lois.

Il nous dit fortement les trois nobles parties

Qui rendent d'un tableau les beautés assorties,

Et dont, en s'unissant, les talents relevés

Donnent à l'univers les peintres achevés.

Mais des trois, comme reine, il nous expose celle

Que ne peut nous donner le travail, ni le zèle ;

Et qui, comme un présent de la faveur des Cieux,

Est du nom de divine appelée en tous lieux ;

Elle, dont l'essor monte au-dessus du tonnerre, Et sans qui l'on demeure à ramper contre terre,

Qui meut tout, règle tout, en ordonne à son choix,

Et des deux autres mène et régit les emplois.

Il nous enseigne à prendre une digne matière,

Qui donne au feu du peintre une vaste carrière,

Et puisse recevoir tous les grands ornements

Qu'enfante un beau génie en ses accouchements,

Et dont la Poésie et sa soeur la Peinture,

Parent l'instruction de leur docte imposture,

Composent avec art ces attraits, ces douceurs,

Qui font à leurs leçons un passage en nos coeurs,

Et par qui de tout temps ces deux soeurs si pareilles

Charment, l'une les yeux, et l'autre les oreilles.

Mais il nous dit de fuir un discord apparent

Du lieu que l'on nous donne et du sujet qu'on prend,

Et de ne point placer dans un tombeau des fêtes,

Le ciel contre nos pieds, et l'enfer sur nos têtes.

Il nous apprend à faire, avec détachement,

De groupes contrastés un noble agencement,

Qui du champ du tableau fasse un juste partage

En conservant les bords un peu légers d'ouvrage,

N'ayant nul embarras, nul fracas vicieux

Qui rompe ce repos, si fort ami des yeux,

Mais où, sans se presser, le groupe se rassemble,

Et forme un doux concert, fasse un beau tout-ensemble, Où rien ne soit à l'oeil mendié, ni redit,

Tout s'y voyant tiré d'un vaste fonds d'esprit,

Assaisonné du sel de nos grâces antiques,

Et non du fade goût des ornements gothiques,

Ces monstres odieux des siècles ignorants,

Que de la barbarie ont produits les torrents,

Quand leur cours, inondant presque toute la terre,

Fit à la politesse une mortelle guerre,

Et, de la grande Rome abattant les remparts,

Vint, avec son empire, étouffer les beaux-arts.

Il nous montre à poser avec noblesse et grâce

La première figure à la plus belle place,

Riche d'un agrément, d'un brillant de grandeur

Qui s'empare d'abord des yeux du spectateur ;

Prenant un soin exact que, dans tout un ouvrage,

Elle joue aux regards le plus beau personnage ;

Et que, par aucun rôle au spectacle placé,

Le héros du tableau ne se voie effacé.

Il nous enseigne à fuir les ornements débiles

Des épisodes froids et qui sont inutiles,

A donner au sujet toute sa vérité,

A lui garder partout pleine fidélité,

Et ne se point porter à prendre de licence,

A moins qu'à des beautés elle donne naissance.

Il nous dicte amplement les leçons du dessin

Dans la manière grecque, et dans le goût romain ;

Le grand choix du beau vrai, de la belle nature,

Sur les restes exquis de l'antique sculpture,

Qui, prenant d'un sujet la brillante beauté,

En savait séparer la faible vérité,

Et, formant de plusieurs une beauté parfaite,

Nous corrige par l'art la nature qu'on traite.

Il nous explique à fond, dans ses instructions,

L'union de la grâce et des proportions ;

Les figures partout doctement dégradées,

Et leurs extrémités soigneusement gardées ;

Les contrastes savants des membres agroupés,

Grands, nobles, étendus et bien développés,

Balancés sur leur centre en beauté d'attitude,

Tous formés l'un pour l'autre avec exactitude,

Et n'offrant point aux yeux ces galimatias

Où la tête n'est point de la jambe, ou du bras ;

Leur juste attachement aux lieux qui les font naître,

Et les muscles touchés autant qu'ils doivent l'être ;

La beauté des contours observés avec soin,

Point durement traités, amples, tirés de loin,

Inégaux, ondoyants, et tenant de la flamme,

Afin de conserver plus d'action et d'âme ;

Les nobles airs de tête amplement variés,

Et tous au caractère avec choix mariés ;

Et c'est là qu'un grand peintre, avec pleine largesse,

D'une féconde idée étale la richesse,

Faisant briller partout de la diversité, Et ne tombant jamais dans un air répété :

Mais un peintre commun trouve une peine extrême

A sortir, dans ses airs, de l'amour de soi-même :

De redites sans nombre il fatigue les yeux,

Et, plein de son image, il se peint en tous lieux.

Il nous enseigne aussi les belles draperies,

De grands plis bien jetés suffisamment nourries,

Dont l'ornement aux yeux doit conserver le nu,

Mais qui, pour le marquer, soit un peu retenu,

Qui ne s'y colle point, mais en suive la grâce,

Et, sans la serrer trop, la caresse et l'embrasse.

Il nous montre à quel air, dans quelles actions,

Se distinguent à l'oeil toutes les passions,

Les mouvements du coeur, peints d'une adresse extrême,

Par des gestes puisés dans la passion même,

Bien marqués pour parler, appuyés, forts et nets,

Imitant en vigueur les gestes des muets,

Qui veulent réparer la voix que la nature

Leur a voulu nier, ainsi qu'à la peinture.

Il nous étale enfin les mystères exquis

De la belle partie où triompha Zeuxis,

Et qui, le revêtant d'une gloire immortelle,

Le fit aller du pair avec le grand Apelle

L'union, les concerts, et les tous des couleurs,

Contrastes, amitiés, ruptures et valeurs,

Qui font les grands effets, les fortes impostures,

L'achèvement de l'art, et l'âme des figures. Il nous dit clairement dans quel choix le plus beau

On peut prendre le jour et le champ du tableau ;

Les distributions et d'ombre et de lumière

Sur chacun des objets et sur la masse entière ;

Leur dégradation dans l'espace de l'air,

Par les tons différents de l'obscur et du clair ;

Et quelle force il faut aux objets mis en place

Que l'approche distingue et le lointain efface ;

Les gracieux repos que, par des soins communs,

Les bruns donnent aux clairs, comme les clairs aux bruns,

Avec quel agrément d'insensible passage

Doivent ces opposés entrer en assemblage,

Par quelle douce chute ils doivent y tomber,

Et dans un milieu tendre aux yeux se dérober ;

Ces fonds officieux qu'avec art on se donne

Qui reçoivent si bien ce qu'on leur abandonne ;

Par quels coups de pinceau, formant de la rondeur,

Le peintre donne au plat le relief du sculpteur ;

Quel adoucissement des teintes de lumière

Fait perdre ce qui tourne et le chasse derrière,

Et comme avec un champ fuyant, vague et léger,

La fierté de l'obscur sur la douceur du clair

Triomphant de la toile, en rire avec puissance

Les figures que veut garder sa résistance,

Et, malgré tout l'effort qu'elle oppose à ses coups,

Les détache du fond, et les amène à nous.

Il nous dit tout cela, ton admirable ouvrage,

Mais, illustre Mignard, n'en prends aucun ombrage ;

Ne crains pas que ton art, par ta main découvert,

A marcher sur tes pas tienne un chemin ouvert,

Et que de ses leçons les grands et beaux oracles

Elèvent d'autres mains à tes doctes miracles :

Il y faut les talents que ton mérite joint,

Et ce sont des secrets qui ne s'apprennent point.

On n'acquiert point, Mignard, par les soins qu'on se donne,

Trois choses dont les dons brillent dans ta personne,

Les passions, la grâce, et les tons de couleur

Qui des riches tableaux font l'exquise valeur ;

Ce sont présents du Ciel, qu'on voit peu qu'il assemble,

Et les siècles ont peine à les trouver ensemble.

C'est par là qu'à nos yeux nuls travaux enfantés

De ton noble travail n'atteindront les beautés :

Malgré tous les pinceaux que ta gloire réveille,

Il sera de nos jours la fameuse merveille,

Et des bouts de la terre en ces superbes lieux

Attirera les pas des savants curieux.

O vous, dignes objets de la noble tendresse

Qu'a fait briller pour vous cette auguste Princesse,

Dont au grand Dieu naissant, au véritable Dieu,

Le zèle magnifique a consacré ce lieu,

Purs esprits, où du Ciel sont les grâces infuses,

Beaux temples des vertus, admirables recluses,

Qui dans votre retraite, avec tant de ferveur,

Mêlez parfaitement la retraite du coeur, Et, par un choix pieux hors du monde placées,

Ne détachez vers lui nulle de vos pensées,

Qu'il vous est cher d'avoir sans cesse devant vous

Ce tableau de l'objet de vos voeux les plus doux,

D'y nourrir par vos yeux les précieuses flammes,

Dont si fidèlement brûlent vos belles âmes,

D'y sentir redoubler l'ardeur de vos désirs,

D'y donner à toute heure un encens de soupirs,

Et d'embrasser du coeur une image si belle

Des célestes beautés de la gloire éternelle,

Beautés qui dans leurs fers tiennent vos libertés,

Et vous font mépriser toutes autres beautés !

Et toi, qui fus jadis la maîtresse du monde,

Docte et fameuse école en raretés féconde,

Où les arts déterrés ont, par un digne effort,

Réparé les dégâts des barbares du Nord ;

Source des beaux débris des siècles mémorables,

O Rome, qu'à tes soins nous sommes redevables

De nous avoir rendu, façonné de ta main,

Ce grand homme, chez toi devenu tout Romain,

Dont le pinceau célèbre, avec magnificence,

De ses riches travaux vient parer notre France,

Et dans un noble lustre y produire à nos yeux

Cette belle peinture inconnue en ces lieux,

La fresque, dont la grâce, à l'autre préférée,

Se conserve un éclat d'éternelle durée,

Mais dont la promptitude et les brusques fiertés

Veulent un grand génie à toucher ses beautés !

De l'autre qu'on connaît la traitable méthode

Aux faiblesses d'un peintre aisément s'accommode :

La paresse de l'huile, allant avec lenteur,

Du plus tardif génie attend la pesanteur ;

Elle sait secourir, par le temps qu'elle donne,

Les faux pas que peut faire un pinceau qui tâtonne ;

Et sur cette peinture on peut, pour faire mieux,

Revenir, quand on veut, avec de nouveaux yeux.

Cette commodité de retoucher l'ouvrage

Aux peintres chancelants est un grand avantage ;

Et ce qu'on ne fait pas en vingt fois qu'on reprend,

On le peut faire en trente, on le peut faire en cent.

Mais la fresque est pressante et veut, sans complaisance,

Qu'un peintre s'accommode à son impatience,

La traite à sa manière et, d'un travail soudain,

Saisisse le moment qu'elle donne à sa main.

La sévère rigueur de ce moment qui passe

Aux erreurs d'un pinceau ne fait aucune grâce ;

Avec elle il n'est point de retour à tenter,

Et tout au premier coup se doit exécuter.

Elle veut un esprit où se rencontre unie

La pleine connaissance avec le grand génie,

Secouru d'une main propre à le seconder,

Et maîtresse de l'art jusqu'à le gourmander,

Une main prompte à suivre un beau feu qui la guide,

Et dont, comme un éclair, la justesse rapide

Répande dans ses fonds, à grands traits non tâtés,

De ses expressions les touchantes beautés.

C'est par là que la fresque, éclatante de gloire,

Sur les honneurs de l'autre emporte la victoire,

Et que tous les savants, en juges délicats,

Donnent la préférence à ses mâles appas.

Cent doctes mains chez elle ont cherché la louange ;

Et Jules, Annibal, Raphaël, Michel-Ange,

Les Mignards de leur siècle, en illustres rivaux,

Ont voulu par la fresque anoblit leurs travaux.

Nous la voyons ici doctement revêtue

De tous les grands attraits qui surprennent la vue.

Jamais rien de pareil n'a paru dans ces lieux ;

Et la belle inconnue a frappé tous les yeux.

Elle a non seulement, par ses grâces fertiles,

Charmé du grand Paris les connaisseurs habiles,

Et touché de la cour le beau monde savant ;

Ses miracles encore ont passé plus avant,

Et de nos courtisans les plus légers d'étude

Elle a pour quelque temps fixé l'inquiétude,

Arrêté leur esprit, attaché leurs regards,

Et fait descendre en eux quelque goût des beaux-arts.

Mais ce qui, plus que tout, élève son mérite,

C'est de l'auguste Roi l'éclatante visite :

Ce monarque, dont l'âme aux grandes qualités

Joint un goût délicat des savantes beautés,

Qui, séparant le bon d'avec son apparence, Décide sans erreur, et loue avec prudence ;

Louis, le grand Louis, dont l'esprit souverain

Ne dit rien au hasard, et voit tout d'un oeil sain,

A versé de sa bouche, à ses grâces brillantes,

De deux précieux mots les douceurs chatouillantes ;

Et l'un sait qu'en deux mots ce roi judicieux

Fait des plus beaux travaux l'éloge glorieux.

Colbert dont le bon goût suit celui de son maître,

A senti même charme, et nous le fait paraître.

Ce vigoureux génie au travail si constant,

Dont la vaste prudence à tous emplois s'étend,

Qui, du choix souverain, tient, par son haut mérite,

Du commerce et des arts la suprême conduite,

A d'une noble idée enfanté le dessein

Qu'il confie aux talents de cette docte main,

Et dont il veut par elle attacher la richesse

Aux sacrés murs du temple où son coeur s'intéresse.

La voilà, cette main qui se met en chaleur ;

Elle prend les pinceaux, trace, étend la couleur,

Empâte, adoucit, touche, et ne fait nulle pause :

Voilà qu'elle a fini ; l'ouvrage aux yeux s'expose ;

Et nous y découvrons, aux yeux des grands experts,

Trois miracles de l'art en trois tableaux divers.

Mais, parmi cent objets d'une beauté touchante,

Le Dieu porte au respect, et n'a rien qui n'enchante ;

Rien en grâce, en douceur, en vive majesté,

Qui ne présente à l'oeil une divinité ;

Elle est toute en ces traits si brillants de noblesse ;

La grandeur y paraît, l'équité, la sagesse,

La bonté, la puissance ; enfin ces traits font voir

Ce que l'esprit de l'homme a peine à concevoir.

Poursuis, ô grand Colbert, à vouloir dans la France

Des arts que tu régis établir l'excellence,

Et donne à ce projet, et si grand et si beau,

Tous les riches moments d'un si docte pinceau.

Attache à des travaux, dont l'éclat te renomme ;

Le reste précieux des jours de ce grand homme.

Tels hommes rarement se peuvent présenter,

Et, quand le ciel les donne, il en faut profiter.

De ces mains, dont les temps ne sont guère prodigues,

Tu dois à l'univers les savantes fatigues ;

C'est à ton ministère à les aller saisir,

Pour les mettre aux emplois que tu peux leur choisir ;

Et, pour ta propre gloire, il ne faut point attendre

Qu'elles viennent t'offrir ce que ton choix doit prendre.

Les grands hommes, Colbert, sont mauvais courtisans,

Peu faits à s'acquitter des devoirs complaisants ;

A leurs réflexions tout entiers ils se donnent ;

Et ce n'est que par là qu'ils se perfectionnent. L'étude et la visite ont leurs talents à part.

Qui se donne à la cour se dérobe à son art.

Un esprit partagé rarement s'y consomme,

Et les emplois de feu demandent tout un homme.

Ils ne sauraient quitter les soins de leur métier

Pour aller chaque jour fatiguer ton portier ;

Ni partout, près de toi, par d'assidus hommages

Mendier des prôneurs les éclatants suffrages.

Cet amour de travail qui toujours règne en eux,

Rend à tous autres soins leur esprit paresseux ;

Et tu dois consentir à cette négligence

Qui de leurs beaux talents te nourrit l'excellence.

Souffre que, dans leur art s'avançant chaque jour,

Par leurs ouvrages seuls ils te fassent leur cour.

Leur mérite à tes yeux y peut assez paraître ;

Consultes-en ton goût, il s'y connaît en maître,

Et te dira toujours, pour l'honneur de ton choix,

Sur qui tu dois verser l'éclat des grands emplois.

C'est ainsi que des arts la renaissante gloire

De tes illustres soins ornera la mémoire ;

Et que ton nom, porté dans cent travaux pompeux,

Passera triomphant à nos derniers neveux.

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